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<title> Ici THK — Les Forces Francaises de l'Interieur parlent aux francais </title>
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<header>
<h1> <a href="index.html">Ici THK</a> </h1>
<h2> Gilbert SIMONDON </h2>
<h3> Individuation </h3>
</header>
<main>
<article>
<aside>
<section id="author">
<h3>About the Author</h3>
<p>Gilbert Simondon was a French philosopher.</p>
</section>
<section id="sources">
<h3>Sources</h3>
<ul>
<li><em>Du mode d'existence des objets techniques</em> (MEOT)</li>
<li><em>Gilbert Simondon, Being and Technology</em> (BT, ISBN 978-0-7486-4525-1)</li>
<li><em>La résolution des problèmes</em>, (RP, ISBN 978-2-13-073358-4)</li>
</ul>
</section>
</aside>
<section id="individuation">
<h3>Individuation</h3>
<p>without taking into account its associated milieu: If, on
the other hand, one presupposed that individuation does
not only produce the individual, one would not seek to
pass quickly through the stage of individuation to arrive
at this final individuality which is the individual: one
would seek instead to seize ontogenesis in the entire
unfolding of its reality, and <em>to know the individual
through the individuation rather than the individuation
starting from the individual</em> (MEOT p.24)</p>
<p>« psychological individuality appears as that which
elaborates itself while elaborating transindividuality;
this elaboration rests on two connected dialectics, one
that interiorizes the exterior, and another that
exteriorizes the interior. » (MEOT p.157)</p>
</section>
<section id="techno-aesthetics">
<h3>Techno-Aesthetics</h3>
<p></p>
</section>
<section id="realism-of-relations">
<h3>Realism of Relations</h3>
<p></p>
</section>
<section id="ontogenesis">
<h3>Ontogenesis</h3>
</section>
<section id="transindividuel">
<h3>Transindividuel</h3>
<p>« L'object technique pris selon son essence, c'est-à-dire
l'objet technique en tant qu'il a été inventé, pensé et
voulu, assumé par un sujet humain, devient le support et le
symbole de cette relation que nous voudrions nommer
<em>transindividuelle</em> » (MEOT p.336)</p>
</section>
<section id="invention-et-creation">
<h3>Invention et création</h3>
<p>Enfin, la méthode de ce cours peut être discutable : nous
nous sommes adressés aux traces laissées par l'invention et
à la méthodologie de la créativité plutôt qu'à un essai de
définition psychologique de l'invention et de la
création. Ainsi nous analysons le processus d'invention
d'après les principales étapes du développement des
doctrines philosophiques dans l'antiquité ou d'après les
étapes les plus nettes de la locomotion à vapeur. C'est que
le second postulat de ce cours est l'affirmation qu'il peut
y avoir des processus psychiques transindividuels, passant
d'un sujet à un autre de génération en génération, transmis
par des documents écrits, des graphiques, ou par les objets
eux-mêmes, sous forme de monuments, de moteurs, de machines
à information. La transmission peut se faire aussi par des
exemples vivants (de maître à disciple). Ce que l'invention
réalise par étapes dans le temps, la créativité peut le
réaliser par échange dans l'instant. Rien, dans les méthodes
actuelles, ne peut permettre de mettre au jour en détail les
processus psychiques impliqués, car il existe une
psychologie sociale et une psychologie de l'individu, mais
les processus de la pensée transductive, qui passe de l'un à
l'autre tout en laissant à chacun sa nature individuelle
propre, reste à constituer. On ne peut définir l'invention
comme une simple fonction de l'individu, ni la créativité
comme un simple effet de groupe, car l'invention et la
créativité demandent généralement une succession
reconnaissable de phases et un ensemble énumérable de
conduites des membres d'un groupe en relation effective
d'interaction.
<br>
C'est pourquoi nous avons voulu nous tenir avant tout au
plan de la description des phases, pour l'invention, et à
celui de la conduite des groupes, pour la créativité. Le
travail reste ainsi incomplet, principalement en ce qui
concerne l'analyse psychologique de la communication.
<br>
Mais mieux vaut peut-être laisser subsister une lacune, en
la désignant, que de la combler par une hypothèse au
fondement incertain. C'est sans doute là qu'il faut chercher
la raison principale qui a incité l'Université à être
prudente envers un mode de pensée qui ne se laisse
directement appréhender par aucune méthode connue.
(RP p.254-255)</p>
</section>
<section id="allagmatics">
<h3>Allagmatics</h3>
<p></p>
</section>
</article>
<nav>
<ul>
<li><a href="bernard-aspe.html">ASPE</a></li>
<li><a href="karen-barad.html">BARAD</a></li>
<li><a href="muriel-combes.html">COMBES</a></li>
<li><a href="stephane-lupasco.html">LUPASCO</a></li>
<li><a href="deborah-lupton.html">LUPTON</a></li>
<li><a href="lynn-margulis.html">MARGULIS</a></li>
<li><a href="basarab-nicolescu.html">NICOLESCU</a></li>
<li><a href="gilbert-simondon.html">SIMONDON</a></li>
<li><a href="subrosa.html">SUBROSA</a></li>
<li><a href="etc.html">Etc.</a></li>
</ul>
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</main>
</body>
</html>
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